Trop flemmard pour tout lire ? Voici ce qu’il faut retenir
Mes 4 conseils en détail pour vivre une rentrée sereine en ville 👇
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Conseil n°1 : Anticiper pour se dégoter un appart’
S’il y a bien une première chose à penser, c’est bien celle-ci !
CROUS, pas CROUS, coloc, sous-loc… Il faut absolument explorer toutes les possibilités qui s’offrent à vous en termes de logement étudiant.
Une nouvelle vie à Paname ou en ville en général, ça ne s’improvise pas !
Tenez, dans cet article, je vous dévoile mes petits secrets pour trouver votre logement en moins de deux’ pendant votre alternance.
Breaking News : pour que tout se passe comme dans vos plans, bloquez-vous quelques jours sur place avant votre rentrée. L’objectif ? Optimiser son temps et faire le max de visites. Ce n’est pas le jour venu qu’il faudra vous inquiéter d’où vous allez crécher le soir, on n’est pas dans Pékin Express là.
Conseil n°2 : Prendre soin de son porte-monnaie
Une chose est sûre, le porte monnaie prend cher quand on étudie en ville.
Vivre en ville quand on est étudiant, c’est comme être dans une piscine à balle pour enfants.
Tu sais que tu as envie de sauter dedans et de faire des carabistouilles, mais que nenni, c’est pas pour toi !
C’est un fait, le pouvoir d’achat va beaucoup diminuer par rapport à la vie chez papa et maman. Conséquence : cela oblige à gérer rigoureusement son budget d’étudiant.
Alors steuplé, fait appel au petit ange sur ton épaule plutôt qu’au démon qui sommeille en toi. Hélas, j’ai pas de code Motherlode des Sims à vous fournir.
Conseil n°3 : Apprendre à gérer son agoraphobie
Comment ça vous ne kiffez pas sentir les aisselles de votre voisin dans le métro ? Pourtant c’est tellement glam’ ! J’comprends pas…
Vaincre sa peur de la foule (ou tout simplement apprendre à supporter les gens) font bien partie des plus gros défis quand on passe de la campagne à la ville.
Rassurez-vous, on s’y fait vite. Et puis en vrai, c’est pas si terrible.
Et en même temps vous verrez, vous aurez vite envie de combattre la solitude.
Pour cela, lancez-vous de nouveaux défis associatifs par exemple. Allez boire des verres (ou un, c’est déjà bien) avec vos voisins, ou sortez balader votre chien imaginaire. Qui sait, vous tomberez peut-être sur votre futur BFF au coin d’un lampadaire !
Pour les misophones, il va falloir faire un petit effort aussi. Car quand vous serez tranquilou au resto en train de vous taper votre meilleur burger, il y a de fortes chances que vous partagiez aussi celui du voisin… Après, quelques séances de psy et d’hypnose peuvent être prises en charge par votre mutuelle 😉
N’hésitez pas non plus à vous abonner à des hashtag sur Insta ou à intégrer des groupes Facebook. Vous n’êtes pas seul dans ce cas là !
Après tout, c’est comme un plongeon dans le grand bain ou dans la piscine à boules, il faut se lancer la tête la première, et ça passe crème (quand on a le droit).
Conseil n°4 : Avoir un moral d’acier
Parce que cette épreuve n’est pas des plus faciles, keep in mind que le temps va forcément vous aider. Alors laissez-vous quelques semaines pour vous sentir pleinement intégré à la vie urbaine. So don’t panic si vous ne vous sentez pas comme un poisson dans l’eau dès le début !
Autorisez-vous des petits kiff simples : se balader dans un parc, prendre un café à emporter avant d’aller en cours… même la brioche / chocolat chaud sous le plaid + Netflix sont ok.
Et puis n’oubliez pas que si vous avez besoin de parler, mon chat est open !
Besoin d’être mis en relation avec d’autres expat’ de la campagne comme vous ? Dites-moi tout sur mon chat, et je vous donne toutes mes bonnes adresses.